En période hivernale, les démunis ne cessent d'augmenter - les familles et les enfants qui ne peuvent se nourrir et qui se serrent la ceinture car manger va devenir un luxe pour ces catégores - Mais, leur nombre augmente avec parfois des constats alarmistes du fait des crises et des difficultés conjoncturelles et parfois financières - Les territoires et les élus ne sont pas assez compris pour faire face aux difficultés matérielles et humanitaires - 

Les associations présentes sur le terrain et au contact des populations, sont parfois considérées comme des bouées de sauvetage - Mais, il est bon de se rappeler que ces initiatives ont commencé par l'abbé Pierre vers les années 1950 et que ces gestes humains ne sont que des actes de bien-être - Ces comportements se sont vus lors des périodes moyennageuses -

Les diverses associations comme les banques alimentaires demandent de plus en plus d'aides aux collectivités et aux pouvoirs publics - Il ne faut pas oublier que les gestes des populations comme donner un paquet de pates ou une bouteille d'huile sont souvent réalisés lors de campagnes de sensibilisation

Mais que devons-nous faire pour les aider quand l'Europe decide de suspendre les versements accordés à ces associations ? La réponse ne pourra se trouver que par une prise en compte et en charge de la difficulté et par les réalités de la société actuelle -

Tous ce éléments ne sont bien entendus que des petites choses pourne pas dire des petits constats de l'idée que l'on se fait de ces situations.

 Pour continuer le débat, j'aimerais que les idées mais surtout les actes démontrent que les difficultés matérielles des populations sont en voie de résolution et que les écarts de richesses dans la société diminuent - Mais est-ce vraiment une solution envisageable ?

Je ne pourrais le dire ...

Chaque année a lieu dans les communes de la France entière le forum des associations. Un bien qui montre le dynamisme et l'importance associative des participations des habitants.

Alors aidons les à se développer et notre vie deviendra ... sensée

Encourageons l'association "Service 43" qui vient de se créer afin de résoudre si possible les difficultés des agriculteurs dans leur reconnaissance économique dans le département de l'Aveyron.

Longue vie à eux ...

En plus de leur rôle déterminant dans le cursus scolaire des enfants, les crèches ou les écoles maternelles viennent à point nommé aider la femme rurale à s'émanciper.

Libérée de la contrainte de la garde des enfants, la femme a toute latitude pour intégrer la vie professionnelle. La maternelle, la crèche ou le préscolaire sont de véritables paliers à ne pas négliger dans le cursus scolaire d'un enfant. Tel est le résultat d'une petite enquête que nous avons menée dans les milieux des parents et des responsables de ces établissements destinés à la petite enfance.
 

En fait, si le constat tend à être admis, il n'en demeure pas moins qu'un élément nouveau vient s'imposer: la tendance est à la croissance des crèches dans le milieu rural où quelques années auparavant, l'éducation des enfants était exclusivement assurée par les grands-parents.
 

Notre enquête nous a amenés à s'interroger sur les raisons qui ont poussé la société en milieu rural à adopter les crèches à l'instar des grands centres urbains, voire plus dans certaines communes. En effet, aujourd'hui, toutes les communes sont dotées d'une ou plusieurs crèches.
 

Pour aider les parents, les services ont lancé l'initiative de doter ces dernières de crèches publiques. Nous avons pris comme échantillon, une de celles récemment ouvertes dans la commune de Boudjima. Selon plusieurs avis recueillis parmi les parents, cet espace a indéniablement eu un effet bénéfique à maints égards.
 

D'abord, plusieurs couples dont les deux partenaires travaillent, affirmaient que c'est une véritable bouée de sauvetage.
 

Une dame nous dira qu'elle a réfléchi à démissionner de son poste pour se consacrer à ses enfants. Sur un autre plan, cet espace a provoqué un véritable changement de comportement des enfants.
Toutefois, il est à observer que l'impact le plus important est d'ordre sociologique. En premier lieu, l'engouement des parents sur ces espaces renseigne que le milieu rural a sociologiquement changé.
Aujourd'hui dans les villages, les familles deviennent de plus en plus petites et réduites au couple et à ses enfants. Le milieu rural, aujourd'hui, a subi une grande mutation.
 

Il n'est plus comme jadis lorsque les familles étaient composées des grands-parents, des frères et de leurs enfants formant une véritable tribu. En deuxième lieu, la multiplication des crèches à travers les villages a considérablement aidé les femmes à s'affranchir des contraintes ménagères pour se consacrer à leur vie professionnelle. Aujourd'hui, certains observateurs n'hésitent pas à affirmer que le milieu rural n'est plus un obstacle à l'émancipation des femmes. Bien au contraire, il est à constater que la frange féminine est beaucoup plus représentée dans les milieux professionnels.
 

Deux constats se sont imposés. La tendance est incontestablement à la hausse dans la quantité et la qualité en matière d'écoles maternelles. Enfin, il est avéré que le décalage, en ces temps de la technologie et de la modernité, entre le milieu citadin et le milieu rural, s'est beaucoup réduit.