• - L'obtention de label pour les commerces locaux du monde rural

     Cet article publié dans le journal OF présente une nouvelle mesure qui touche les commerces du secteur de l'hôtellerie et de la restauration. Cette nouvelle idée concerne autant les petites communes isolées des territoires ruraux et également celles du monde urbain.

    Les petits commerces et les grandes surfaces seront les principales concernées car les consommateurs sont souvent les victimes finales de ce genre de mesure. J'aimerai croire que cette situation n'est destinée qu'à apporter des ressources à des finances délicates.

    Mais peut-on croire que la qualité sera préservée par une augmentation et l'obtention de labels favorisant l'origine des produits ?

     

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    La ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme Pinel a rencontré lundi matin les professionnels de l’hôtellerie-restauration pour instaurer le label « fait maison ».

    La création de ce label spécifique à l’hôtellerie-restauration vise, pour la ministre, à renforcer la transparence et l’information du consommateur.

    Sur les cartes, un logo signalera aux clients les produits frais cuisinés sur place des sachets surgelés réchauffés au micro-ondes. Un gage de qualité pour les « vrais » restaurants.

    Soutenir la restauration de qualité

    Inscrit dans le plan des dix mesures en faveur de la restauration défendu par la ministre, ce label fera l’objet d’un amendement gouvernemental au projet de loi Hamon sur la consommation, examiné à partir de lundi soir par les députés.

    Le texte a été élaboré à la suite du scandale sur les lasagnes contenant de la viande de cheval.

    « En restaurant la confiance des consommateurs, ce label a pour but de soutenir la restauration de qualité », indique-t-on dans l’entourage de Sylvia Pinel.

    Un plus pour l’emploi

    « Il faut aller vers plus de transparence en obligeant les restaurateurs à indiquer sur les cartes des menus si les plats sont oui ou non faits à partir de produits industriels. Cela favoriserait l’emploi puisque le nombre de salariés dépend directement dans les restaurants du pourcentage de produits frais cuisinés sur place », explique Thomas Thévenoud, député PS de Saône-et-Loire, auteur d’un amendement sur le sujet.

    Selon une étude du Synhorcat, syndicat minoritaire qui regroupe les professionnels indépendants, 31 % des établissements déclareraient utiliser des produits industriels mais le pourcentage grimpe en flèche dès que l’on a affaire à des chaînes, des franchisés et des enseignes de restauration rapide.

    Une guerre des labels

    En 2007, l’État avait déjà établi la qualité de Maître restaurateur pour les chefs travaillant « majoritairement les produits frais ».

    Plus récemment, le Collège culinaire de France s’est attiré les foudres des restaurateurs en lançant l’appellation « Restaurant de qualité », provoquant une véritable guerre des labels.

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