• Les chambres d'hôtes : un problème pour l'hotellerie

     

    Nous dénombrons sur le territoire français énormément de chambres d'hôtes au quatre coins de l'hexagone. les touristes semblent parfois un peu désorientés mais aussi désabusés devant ce nombre de lieux et ce manque de règles administratives fixes.

    ce tourisme vert et bien souvent local trouve ses atouts et ses valeurs dans le lien avec le client et aussi par sa proximité du local. Les territoires ruraux et également le monde agricole espèrent retrouver un semblant d'activités économiques dynamiques.

    faut-il croire que cette concurrence parfois mal perçue et déloyale justifiée ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Un article extrait du Bien Public vient de paraitre sur la jeunesse rurale et par conséquent sur ces représentations.

    Il cherche à montrer que les MJC sont des acteurs présents et dynamiques sur les territoires et également que les jeunes cherchent à profiter tout en respectant des valeurs morales et culturelles riches et réelles.

    Alors continuons à encourager les acteurs locaux dans la défense des territoires ...

     

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    Récemment, à la Maison de quartier de la Fontaine-d’Ouche à Dijon s’est tenu le bilan d’étape de l’action Rencontres des coordonnateurs, animateurs jeunesse des communautés de communes de la Côte-d’Or en milieu rural et semi-rural, portée conjointement depuis 2010 par l’Union départementale des MJC de Côte-d’Or (UDMJC 21) et la fédération régionale des MJC de Bourgogne (FRMJC Bourgogne), en partenariat avec le conseil général de Côte-d'Or, la CAF de Côte-d'Or, la caisse régionale de la Mutualité sociale agricole de Bourgogne, la Direction départementale de la cohésion sociale de la Côte-d'Or et la Ligue de l'enseignement de la Côte-d'Or. Ce fut l’occasion pour les participants de rappeler la nécessité de ses rencontres pour les animateurs et coordinateurs souvent isolés dans les territoires ruraux et pour les élus associatifs ou communautaires la possibilité d’être accompagnés dans leurs choix politiques en direction des jeunes. En effet, cette action a pour objectifs le développement et la consolidation du réseau des coordonnateurs et animateurs sur les territoires ruraux et semi-ruraux de la Côte-d’Or, l’identification des besoins des animateurs, coordonnateurs et élus et la mise en place de temps d’accompagnement dans le but d’une adéquation entre politique jeunesse, projet d’actions et territoire. L’originalité de l’action réside, par ailleurs, dans la co-élaboration des rencontres entre les partenaires. Les membres actifs du comité de pilotage s’appuient sur les besoins émanant directement des territoires et les mettent en adéquation avec leurs propres directives. Plusieurs rencontres thématiques, co-animées par l’UDMJC 21 et la FRMJC Bourgogne, sont organisées au cours de l’année et se déroulent dans les territoires. A ce jour, au cours des trois premières années d’action ce n’est pas moins de 23 territoires de Côt- d’Or sur 24 communautés de communes ayant la compétence jeunesse qui ont participé à cette démarche. Ce travail avait débouché en décembre 2011 sur la création d’un livret « Les missions des coordonnateurs de politiques jeunesse de la Côte-d’Or en milieu rural et semi-rural ». Puis à une approche méthodologique pour la mise en place d’une politique jeunesse. Ce nouveau bilan d’étape du 19 mars a permis la présentation d’un nouveau livret, « Profession animateur jeunesse 11/17 ans et 18/25 ans en milieu rural et semi-rural de la Côte-d’Or ». Ces livrets sont de véritables outils à la disposition des acteurs qui agissent en direction de la jeunesse rurale.

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  • La Fédération Départementale des Foyers Ruraux a lancé en 2012 une démarche de concertation auprès des Foyers Ruraux du territoire, et de ses associations adhérentes par le biais de réunions de secteurs. Un diagnostic des attentes et des besoins a fait apparaître le souhait de ses adhérents de se rencontrer et de travailler en partenariat. C'est pourquoi 3 projets fédérateurs de 20 Foyers Ruraux et associations, ont été imaginés autour de la musique, du théâtre, des traditions, du patrimoine et se dérouleront en 2013.

    Le 1er projet «La Musicale des Foyers», le festival de chorales, aura lieu à Lunel le samedi 6 avril à l'espace des cultures locales à 20 h 30. Les Foyers Ruraux de Villecomtal, Saint Félix de Lunel, Sébrazac, Golinhac et le Nayrac, sont à pied d'œuvre pour vous proposer une soirée musicale haute en couleurs. Ce premier opus va accueillir 3 chorales du département : la Chorale du Lévézou, la chorale «En Sol Mineur» de Decazeville et «l'Ensemble Polyphonique» d'Espalion. Le 2e projet «Le Festiv@ubrac», sera organisé par les Foyers Ruraux de Cassuéjouls, Saint Rémy de Montpeyroux, La Terrisse et Orlhaguet et prendra place à Montpeyroux les 6, 7 et 8 septembre prochain. Cet événement rassemblera sur un même lieu du théâtre, des bandas, du cinéma de plein air, des musiques actuelles, du folklore et de l'occitan.

    Le 3e projet «Journée Patrimoine», se déroulera le samedi 5 octobre au domaine des Bourines, ancienne propriété de la Dômerie d'Aubrac. Au programme de cette journée : visite du domaine et du château, atelier de pierre sèche, danses traditionnelles, contes en occitan,… L'Association des Bourines en Rouergue, la Cabrette du Haut Rouergue, le Comité des Fêtes de Gabriac, le Cercle Occitan du Haut Rouergue, les Foyers Ruraux d'Estaing, d'Espalion… vous accueilleront sur ce lieu riche en histoire.

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  • Quelle est l'importance du CESER pour des régions en difficulté ? ...

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    Le CESER (Conseil économique, social et environnemental) de Haute-Normandie appelle la Région « à s’engager dans des projets ambitieux » en matière de Très Haut Débit (THD). Dans un avis adopté lundi 11 mars, l’assemblée socio-économique demande que la collectivité soit « le véritable chef de file des acteurs pour un développement cohérent du THD ».

    Faute de quoi, avertit l’avis, il y aurait le « risque de duplication d’infrastructures ». Au passage, le CESER lance un appel à la réalisation de systèmes d’information géographique (SIG) à l’échelle du territoire, indispensables pour « optimiser » les opérations d’enfouissement sur la voirie et « rationaliser » les coûts de génie civil. « Cela répond, entre autres, aux attentes des aménageurs et des habitants », précise le CESER.

    Dans un autre avis sur le projet de Schéma Régional Climat Air Énergie (SRCAE), le CESER demande que la Haute-Normandie, région leader de la production d’énergie soit « exemplaire » pour la mise en application du paquet européen “Energie Climat“.

    Celui-ci instaure la règle dite du 3x20 : -20% de consommation énergétique par rapport à la valeur tendancielle de 2020, -20% d’émissions de gaz à effet de serre entre 2005 et 2020 et une part de 23% de renouvelable dans la consommation finale d’énergie. Le CESER souligne qu’être « exemplaire en matière d’efficacité énergétique » contribue à donner « une image positive, exemplaire et dynamique »

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  •  Le département du Morbihan vient de publier une lettre d'informations sur les lations entre l'Etat et les territoires rurau. Ce document permet de comprendre les évolutions du  mais aussi de visualiser les circonstances économiques et démographiques sans oublier les changements politiques de ce petit territoire du bord de mer qui cumule terroir et littoral.

    A lire ...

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  • La possibilité d'installer un parc éolien au large de la Méditerranée n'est pas anecdotique. "Nous sommes dans une zone propice aux vents qui soufflent avec force et régularité, explique Olivier Guiraud. Un tel projet permettrait aussi de réduire les nuisances visuelles, les problèmes de voisinage et de fond sonore permanent". Mais pour le délégué régional Sud de France Energie Eolienne, la question ne se pose pas encore. "L'éolien en Méditerranée ne verra pas le jour avant 2030. Ce que l'on sait, c'est que les parcs doivent être au minimum à 4 km de distance des côtes. Mais au-delà de 10 km, il sera impossible d'en installer car la profondeur relativement importante des fonds marins rend plus difficile l'implantation de parcs offshore en Méditerranée". A la différence des éoliennes terrestres, les éoliennes en mer seraient posées sur des flotteurs. L'éolien générateur d'emplois ? Pour Olivier Guiraud, délégué régional Sud de France Energie Eolienne, la réponse est claire : "la filière éolienne est une industrie créatrice d'emplois non délocalisables et porteuse de développement en région". Concrètement, le Languedoc-Roussillon, cinquième région française en terme de puissance installée pourrait porter cette énergie à 2 500 Méga wattheure d'ici 2020. Et créer au passage 3 500 emplois. Ce projet fait partie du "Schéma Régional du Climat, de l'Air et de l'Energie", un document en cours d'élaboration qui couvre l'ensemble des énergies renouvelables à l'horizon 2020. Pour Olivier Guiraud, le potentiel régional est énorme et les départements sont toujours sous-équipés : "Un objectif, c'est bien mais il faut laisser la place pour l'éolien en Languedoc-Roussillon". Il appelle, du coup, à une accélération des créations car "une grande partie du gisement régional peut encore être exploitée".

    1,8 milliard d'euros d'investissements

    En installant près de 1 500 mégawatts d'ici huit ans, le Languedoc-Roussillon passerait de 319 éoliennes à 660. L'enjeu pour la région est énorme : "il faut maintenir l'activité économique tout en anticipant et saisissant les opportunités induites par la transition énergétique", souligne le délégué régional.

    Avec plus de 100 entreprises spécialisées dans l'éolien en Languedoc-Roussillon, ce sont déjà quelque 600 emplois directs et 1 800 emplois indirects qui ont été créés. Avec un objectif de 2 500 mégawatts installés d'ici 2020, environ 30 emplois directs par an seraient créés dans les dix ans, soit 900 emplois directs et 2 600 emplois indirects supplémentaires sur l'ensemble des secteurs du développement de projets, de la construction (travaux de génie civil, réseaux électriques, logistique, levage…), de l'exploitation et de la maintenance des parcs éoliens.

    En outre, insiste l'association France Energie Eolienne, les retombées économiques seraient conséquentes. "L'installation de 1 500 mégawatts supplémentaires mobiliserait une enveloppe d'1,8 milliard d'euros d'investissements, dont 400 millions d'euros revenant aux entreprises locales". Côté retombées pour les collectivités, le montant total des taxes annuelles générées par les nouvelles éoliennes est estimé à 28,7 millions d'euros.

    D'ailleurs, les récentes annonces de la ministre de l'Ecologie, Delphine Batho, en faveur de la création de 100 000 emplois en trois ans dans l'économie verte, notamment dans les secteurs de l'efficacité énergétique et des énergies renouvelables, montre que l'éolien apporte la garantie d'une filière pérenne et garante d'emplois.
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    Le "Schéma Régional du Climat, de l'Air et de l'Energie" est une démarche de la Région pilotée par l'Etat.

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    Premier bilan régional

    319 éoliennes ont été installées en Languedoc-Roussillon au 2 juillet 2012, soit une puissance de 452,3 Mégawatt/heure. L'ensemble représente :

    543 millions investis sans aides de l'Etat pour réaliser les parcs. Dont environ 114 millions d'euros revenant aux entreprises locales (BTP essentiellement)
    Plus de 5,2 millions d'euros de taxes annuelles pour les collectivités territoriales. Environ 9,75 millions d'euros d'études de développement des projets sans aides de l'Etat.
    4,5 millions par an de prestation de maintenance dont 50 % à l'échelle régionale. 600 emplois directs et 1 800 emplois indirects créés en région dans plus de 12 secteurs d'activités différents.
    La création de filières de formations spécifiques : - Polytech ENR Perpignan : Formation d'ingénieur tout type d'ENR, 41 étudiants dès la première rentrée, 43 en 2010, recrutement au niveau post Bac par concours Polytech. - Le lycée Dhuoda de Nîmes : Formation de techniciens de maintenance préparant des étudiants de niveau BTS ou DUT des sections maintenance industrielle ou électronique à une spécialisation "maintenance éolienne".
    En moyenne : 15 élèves par promotion. Vue sur le parc éolien de Dio et Valquiè

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