Le journal "Le Progrès" vient de publier un article sur le poids de la nouvelle ruralité et aussi sur les nouveles façons de vivre dans les territoires ruraux. Il est bon de croire que les résidents des campagnes sont des individus qui recherchent des valeurs sociales et communautaires que les villages ruraux proposent. Néanmoins, les élus souhaitent relancer les procédures incitations et aussi des mesures d'encouragement économiques.

Le secteur agricole est un monde où les échanges et l'entraide sont les bases de l'exploitation et les aspects moraux les ingrédients du succès actuel. Des mesures sont nécessaires.

Alors comprenons le monde agricole et aidons les agriculteurs à exister ...

Voici un exemple de la nouvelle ruralité ....

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Chrétiens dans le Monde Rural (CMR) lance sa campagne d’année « Partager plus pour Vivre plus », reliée à la démarche Diaconia (servir la fraternité).

Plusieurs équipes se réunissent assez régulièrement en Haute-Loire et, à cette occasion, elles ont été interpellées par quelques faits. Des éleveurs de Haute-Loire ont été exclus de la procédure calamité sécheresse ou en ont perçu une, très réduite. Ces aides, reliées à un certain nombre d’animaux sur la surface fourragère (UGB/Ha), sont de plus en plus faibles lorsque le chargement diminue et n’existent plus lorsqu’il est inférieur à 0,5 UGB/Ha.

Les adhérents de CMR trouvent que ce système d’indemnisation pénalise les exploitations alimentant au foin, peu intensives, peu polluantes ainsi que de petites structures. Le financement du fonds de calamité est alimenté par tous les agriculteurs. Pourquoi tous n’y ont-ils pas droit ? Ce système n’exclut-il pas certaines exploitations ? Surtout les plus fragiles ? « Ensemble, avec nos différents mouvements, nous souhaitons servir la fraternité et une économie plus au service de l’homme. L’étendue des difficultés peut nous entraîner vers le doute, le désespoir. Aussi, servons la fraternité en agissant personnellement et collectivement dans le milieu ou nous sommes ».