• Quelle est la place de l'immobilier dans les communes rurales bretonnes situées sur le littoral ? Telle est la question que se posent les propriétaires de logements qui aimeraient vendre leur bien. Et oui, les communes du littoral connaissent la crise immobilière.

    Vendre un bien est devenu aujourd'hui compliqué et source de difficultés car les règles se multiplient et les certificats sont légions. Il est bon de croire que les démarches administratives vont se simplifier à l'avenir ... j'aimerais le penser.

     

    Fini le temps des achats idylliques de résidences secondaires avec piscine et grande superficie de terrain, finis les maisons pouvant répondre à toutes les exigences des futurs propriétaires - tout cela est bien terminé. Maintenant, les investisseurs veulent pouvoir répondre à des demandes précises comme "un cadre agréable" et "une vue rêvée sur ...". Mais les propositions sont peu nombreuses car les constructions sont aujourd'hui en baisse. Rappelons que le secteur du bâtiment est en crise même dans la partie construction et rénovation.

    Alors que faut-il faire pour améliorer la situation de l'immobilier sur le littoral breton ? Les réponses sont parfois multiples car les initiatives peuvent relancer le marché immobilier. N'oublions pas non plus que la Bretagne n'est pas connue pour son climat ensoleillé et sa chaleur.

    Vous futurs acheteurs vous détenez les pouvoirs de la négociation et les clés du marché.

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  • Certains territoires ruraux et communes isolées sont confrontés aux problèmes de l'emploi et aux disparitions des entreprises locales. Pour cela, les élus cherchent à sauvegarder celles présentes mais aussi à inciter les candidates à s'installer. Alors courage aux volontaires ...

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    Jean-Luc Combe, nouveau préfet de l'Aveyron, a pris ses fonctions hier. Après un peu moins de dix-neuf mois passés dans le Cantal, il arrive dans un département qu'il avoue connaître très peu «mais qui présente des similitudes avec le Cantal, toutefois moins pourvu en industries». Et d'affirmer : «J'ai beaucoup bougé dans toute la France. Quand on dirige, il faut comprendre très vite les enjeux d'un territoire pour prendre à bras-le-corps les problèmes qui lui sont spécifiques».

    Ces enjeux, Jean-Luc Combe les classe en quatre catégories. L'emploi tout d'abord. «C'est la question qui m'importe le plus. Trop en sont privés. Nous avons l'obligation de tout mobiliser pour favoriser le retour à l'emploi, en partenariat avec les acteurs du monde économique, associatif et syndical. à travers les outils mis à disposition par le gouvernement, il faut retrouver des marges de manœuvre pour permettre aux entreprises d'embaucher. La bataille pour l'emploi est la mère de toutes les batailles».

    «Je serai d'une fermeté absolue»

    Deuxième sujet abordé par le préfet, l'aménagement du territoire. «C'est un sujet jamais achevé. Il y a eu l'arrivée du télégraphe, du téléphone et maintenant du très haut débit. Le travail est en cours, le dialogue engagé, il faut vite trouver un accord. C'est un enjeu important pour l'installation des entreprises sur les territoires ruraux». Sur le même sujet, l'amélioration du réseau routier est, pour Jean-Luc Combe, un enjeu important pour le développement économique. S'agissant de la RN 88, «les choses sont entre les mains du préfet de région, reste à trouver le financement et je me battrai pour un calendrier rapide».

    La sécurité est aussi un sujet essentiel pour le préfet. «En Aveyron, les chiffres sont loin d'être catastrophiques, la délinquance est contenue. Cependant, les services de police et de gendarmerie se doivent d'être vigilants, notamment en termes de cambriolages mais aussi d'atteintes physiques et de violences intrafamiliales, qui touchent maintenant la ville comme la campagne et tous les milieux sociaux. En revanche, dans le domaine de la sécurité routière, les chiffres ne sont pas très bons. Je serai d'une fermeté absolue, notamment en termes de vitesse, d'alcool et autres substances, et téléphone au volant».

    Enfin, l'organisation territoriale «est un enjeu important qui concerne tous les Aveyronnais. Il faut absolument la revoir car le système est à bout de souffle, notamment pour les petites communes qui ont de plus en plus de mal à satisfaire la population. Je vais écouter les propositions des élus, étudier les projets de coopération, veiller à ce que l'on soit orienté vers le développement du territoire. La loi NOTRe prévoit de donner des pouvoirs au préfet. Je serai à l'écoute et si les choses n'avancent pas, j'utiliserai tous les outils prévus par cette loi».

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  •  Les temps se succèdent et  les crises poursuivent leur long chemin de destruction et de panique sociale. Rappelons nous que les entreprises sont les créateurs de richesses d'après les organismes étatiques et aussi selon les agrégats économiques. Mais cette situation laisse peu de place aux initiatives personnelles et aux volontés anormales.

     

    Les employeurs procurent de la richesse à leurs salariés en fournissant un travail contre une rémunération juste ou non (selon les grilles salariales). Ce pouvoir d'achat permet à ces ménages de satisfaire leurs besoins par des actes de consommation. Ces notions sont bien comprises par la société française. Malheureusement, les inégalités salariales et sociales perdurent et les lois ne résolvent pas les injustices.

    Une commune rurale qui accueille des commerces et des entreprises doit installer des procédures qui leur permettent de se développer et aussi de continuer à jouer le rôle d'égalisateur social. Les habitants peuvent ainsi disposer de moyens pour construire leur logement et aussi accomplir leur besoin familial.

    Mais alors que devons nous faire face aux crises accompagnées de mesures contestées ?

    Les crises et les communes rurales sont liées - Les solutions sont maigres car les collectivités territoriales sont démunies. Les demandeurs d'emploi sont  des éléments négligeables que les pouvoirs publics considèrent comme des pions mobiles avec lesquels ils peuvent s'amuser. Considérons également que ces éléments sont aujourd'hui de plus en plus nombreux - Les solutions afin de les diminuer restent sans résultat.

    Le gouvernement actuel espère relancer les créations d'emploi et également éviter que les délocalisations économiques continuent. Des espoirs vite contrariés par des intérêts divergents. Les communes peuvent alors encourager les commerçants à s'installer et à continuer leur activité.Ces souhaits encourageants pour des habitants liés au sol de leur territoire rural.

     

    Mais que disent les collectivités face à cette situation ? Lire l'article suivant ...

    Les solutions espérées passent par des initiatives individuelles et aussi par des actes de jeunes ruraux comme vous avez pu le voir dans la vidéo précédente.

     

    Mais connaitrons nous un jour une solution crédible ?

     

     

     

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  • Le chômage au mois de septembre vient de grimper de 60000chômeurs supplémentaires. Cette situation ne fait que traduire des difficultés économiques récurrentes. L'économie française confrontée à la mondialisation ne peut servir de raison quand des entreprises traversent des turbulences financières importantes. Ne pas pouvoir payer ses impôts, réduire les investissements, baisser la masse salariale témoignent de faits quotidiens de sociétés et d'entrepreneurs courageux.

    Les communes rurales qui ne possèdent pas de structures pour demandeurs d'emploi doivent mobiliser leurs forces pour aider les personnes en recherche d'emploi. Cette situation prouve que l'emploi est un critère de bien-être et de qualité de vie car il permet de répondre à des besoins personnels. Réaliser des activités associatives, acquérir son logement et acheter des biens de nécessité sont parfois compliqués quand les ressources financières ne suffisent plus.

    Les communes sont ainsi sujet à des demandes d'aides et à de la misère sociale qui trouvent son origine dans la situation économique des individus.

    Pouvons-nous croire que les communes isolées puissent trouver des réponses à des problèmes d'emploi ?

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  • Voici une vidéo sur le circuit court et ces bienfaits - A regarder très vite ...

     

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  • Les communes rurales mélangent des populations de divers horizons et d'espaces géographiques parfois éloignés. Les habitants essaient d'intégrer les néoruraux et les habitants "nouvelle génération" par des manifestations et des accueils "portes ouvertes". Les évènements cherchent à mixer les coutumes et les pratiques personnelles et culturelles.

    Les communes parfois isolées demandent  comment faire pour accueillir une nouvelle population avec des habitudes différentes. Les amateurs de produits locaux, les artisans, les mères de famille, les ruraux, les étrangers et sans oublier les habitants enracinés et également les jeunes doivent être satisfaits par les décisions prises par les élus comme la préservation des petits commerces de proximité.

    Il est bon de se rappeler que les commerces locaux sont confrontés à des difficultés dues essentiellement de leur éloignement et des circuits de distribution qui cherchent à les faire disparaitre au profit des centres commerciaux type supermarchés et autres.

    Il semble que les consommateurs soutiennent les petits commerçants comme les petits exploitants agricoles en leur achetant des produits répondant à des exigences de qualité et de proximité.

    Pouvant discuter avec le commerçant et l'exploitant agricole pour connaître les atouts du produit du terroir est une démarche sociale importante dans un monde tourné vers le gigantisme et la consommation de masse voire du "jetable perpétuel".

    D'autres considèrent qu'il faut reprendre des commerces en difficulté pour assurer une activité économique au moins réduite mais toujours présente.

    Alors dîtes votre avis sur ce point ...

     

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  • Ce dimanche, les salariés de l’abattoir Gad, à Lampaul-Guimiliau, étaient en négociation avec la direction afin que leurs salaires soient versés à partir de demain et jusqu’à la fin de la procédure. En contrepartie, les 1 500 cochons vivants présents dans l’abattoir devaient quitter Lampaul-Guimiliau pour Josselin.

    À midi, ce dimanche, les salariés de l’abattoir de Gad, à Lampaul-Guimiliau, se sont accordés pour abattre les 1 500 cochons sur le site de Lampaul-Guimiliau, en vue de leur transfert vers le site de Josselin, dans le Morbihan. La direction s’y est opposée.

    Au cours de l’après-midi, Olivier Le Bras, délégué syndical Force Ouvrière, était en négociation avec la direction. Il expliquait, à 18 h 30, aux salariés présents devant l’abattoir, où en étaient les discussions.

    Par ailleurs, Jean-Marc Puchois, maire de Lampaul-Guimiliau, s'est entretenu 15 minutes au téléphone avec le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, qui s'est engagé à le rappeler dans les deux jours, après s'est mieux renseigné sur le dossier.

     

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