• Aujourd'hui, les Roms sont des sujets délicats - les povoirs publics pensent que ces populations doivent être respectées et surtout être identifiées comme une ethnie importante.

    Les élus essaient de faire accepter à la Société française des décisions socialement non acceptables. Les territoires ruraux peuvent être la solution à ce mal profond -

    Alors, faut-il considérer que les Roms sont une population que nous pouvons laisser peut-être végéter dans le monde rural, dans des communes à faible population.

    Il ne faut pas oublier que les services publics locaux pourront ainsi prospérer et se développer du fait de l'augmentation des habitants - n'oublions pas non plus que l'image qu'ils représentent n'est pas très positive.


    Alors que faire ...


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    Dix familles, dont une trentaine d’enfants, vivent dans des tentes au pied d’une église, en attendant que soit trouvée une solution.

    Le maire n’ose pas encore crier victoire, mais les nouvelles sont plutôt bonnes. Benjamin Dumortier peut se montrer rassurant envers ses très inquiets concitoyens : la centaine de Roms expulsés de Villeneuve d’Ascq ne devrait pas s’installer à Cysoing, ainsi que l’avait ordonné le préfet le 3 septembre dernier. Les quelque 500 manifestants, place de la République à Lille, et les 9 000 signatures déposées sur la pétition ont vraisemblablement eu raison de la fermeté préfectorale.

    « Voulons-nous vivre l’enfer ? »

     

    Il faut dire que l’affaire a fait du bruit, dans une commune rurale de 4 500 âmes où l’on tient beaucoup à sa quiétude. « Non aux Roms », « pas de nomades à la campagne » sont les slogans de ces riverains qui ne décolèrent pas.

    La pétition, dont le nombre de signataires dépasse de loin le cadre de la commune, circule accompagnée de ces termes :

    « Voulons-nous vivre l’enfer ? Allons-nous attendre d’être vandalisés, d’être rackettés, de retrouver nos voitures détruites ? »

    Et sur Internet, la contestation se fait plus virulente encore. La page Facebook, spécialement créée pour l’occasion, a été signalée et bloquée pour propos racistes, puis remise en ligne après modération.

    Des réactions qui vont bien au-delà du syndrome Nimby (« not in my backyard ») : « L’intégration des Roms oui, mais pas derrière chez moi. »

    La mairie, extrêmement mal à l’aise face à certains propos, s’efforce d’apaiser les consciences. Benjamin Dumortier, maire sans étiquette de la commune :

    « Nous ne sommes pas dans une démarche d’exclusion. Cysoing ne peut pas accueillir toute la misère de la métropole, mais nous souhaitons des solutions humaines, équilibrées pour les Roms. »

    Le terrain vague pollué et non viabilisé, censé accueillir une centaine de Roms, est au centre de toutes les attentions.

    Une histoire de patate chaude

     

    La réponse de la mairie à Dominique Bur, préfet de la région, est simple : comment intégrer à la commune plus d’une centaine de Roms installés sur un terrain non viabilisé, sans infrastructure ni encadrement ? Les Cysoniens ne croient pas aux promesses d’accompagnement faites par la préfecture et sont rejoints dans leurs arguments par les défenseurs des Roms eux-mêmes.

    Le père Arthur, impétueux et infatigable protecteur de la communauté rom, comprend la colère des habitants :

    « Je regrette les propos violents tenus par certains riverains, mais je conçois leur ressentiment. L’installation d’une centaine de Roms dans une si petite commune ne peut pas être un succès. Cette solution relève de l’absurde. »

    Alors pourquoi la préfecture a-t-elle émis cette proposition qui ne convainc personne, pas même les défenseurs des Roms ? Parce que, depuis plus d’un mois, la mairie de Lille et la préfecture du Nord se renvoient la patate chaude.

    A droite : « Il n’y a pas de contre-pouvoir »

     

    Si Martine Aubry, présidente de la LMCU (Lille métropole communauté urbaine), assure qu’elle travaille « main dans la main » avec le préfet pour trouver une solution, du côté de l’opposition, on dénonce une « indignation à géométrie variable » de la part de l’ex-première secrétaire du PS.

    Pour Sébastien Huyghe, député UMP du Nord, la manœuvre politicienne de Martine Aubry ne fait aucun doute :

    « On refile le bébé en dehors de la métropole lilloise, vers des communes qui n’ont pas eu le bon goût de voter à gauche. Le préfet, placé sous les ordres de Manuel Valls, ne peut qu’exécuter les ordres de la mairie de Lille. Dans cette histoire, il n’y a pas de contre-pouvoir. »

    Reste qu’à la LMCU, on se défend d’avoir exigé des solutions hors métropole.

    Michel-François Delannoy est vice-président de la métropole lilloise, il rétorque dans La Voix du Nord du 12 septembre :

    « Martine Aubry n’a donné aucun avis sur ces terrains situés hors métropole, ce n’est pas de sa responsabilité. Dans cette histoire, LMCU a pris sa part en créant des villages d’insertion. »

    Des Roms à la campagne, c’est possible

     

    Toujours est-il que, pour les défenseurs des Roms comme pour les élus, l’idée d’installer des familles en milieu rural est loin d’être saugrenue.

    Dans une commune voisine d’environ 2 600 habitants, l’opération fonctionne depuis maintenant deux ans. Une famille de quinze Roms slovaques est installée dans un ancien presbytère prêté par la paroisse et encadrée par l’association du père Arthur, La Pierre blanche.

    Les enfants, qui suivent une scolarité normale à l’école primaire du village, parlent couramment français tandis que le père de famille a obtenu du travail dans une entreprise locale. Anne-Marie Blerviak, membre de La Pierre blanche, détaille :

    « La famille a passé un contrat avec la commune : ils n’ont pas le droit de mendier et s’engagent à entretenir la maison dans laquelle ils vivent. Depuis deux ans qu’ils sont ici, on n’a relevé aucune fausse note et la cohabitation avec les riverains se fait sans heurt. »

    Une famille à Cysoing ? « On verra plus tard »


    Pour la bénévole, il ne fait aucun doute que l’intégration progressive et en petit nombre des familles roms à la campagne constitue une solution satisfaisante. Un avis partagé par Benjamin Dumortier qui, s’il ne peut raisonnablement accueillir cent Roms dans sa commune, propose au préfet l’intégration de petits groupes dans la région.

    Est-il prêt, lui aussi, à accueillir une ou deux familles à Cysoing ?

    « Non, pas dans l’immédiat. Nous en accueillerons peut-être à plus long terme, parce qu’après toute cette histoire, il faudra bien redorer le blason de la commune. »

    Une réponse des plus frileuses, pour un problème qui reste entier.

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  • Parlons Chômage et les jeunes des communes rurales - A écouter les pouvoirs publics, la crise et les fermetures d'usine touchent les populations de tout âge - Il serait intéressant de rappeler que le chômage dans les zones rurales est une épidémie que les municipalités ne peuvent combattre.

    Les magasins qui ferment, les immeubles à moitié occupés, les écoles en sous effectif et ainsi de suite ... - Que faut il en penser ?

    Que le chômage touche les communes rurales comme les villes urbaines - Que les villages rencontreraont des difficultés à remonter la pente -Les activités industrielles ainsi que les commerçants sont des outils indispensables au développement et à la prospérité ...


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    En zones rurales, où le chômage des jeunes peut dépasser les 20%, l'accès aux transports est un frein majeur à l'emploi. Un obstacle que les futurs contrats emplois d'avenir, débattus ce mardi, pourraient contribuer à surmonter, selon des professionnels. (c) Afp

    En zones rurales, où le chômage des jeunes peut dépasser les 20%, l'accès aux transports est un frein majeur à l'emploi. Un obstacle que les futurs contrats emplois d'avenir, débattus ce mardi, pourraient contribuer à surmonter, selon des professionnels.

    "Avec un bassin de 100.000 emplois répartis sur 14 cantons, un jeune qui n'a pas de scooter ou de voiture est clairement en difficulté pour trouver un travail", souligne Guillaume Siméon, coordinateur de la Maison de l'emploi de Centre-Bretagne, située à Loudéac (Côtes d'Armor).

    Flambant neuf, ce pôle rassemblant tous les dispositifs d'accès à l'emploi se trouve lui-même "à 40 kilomètres de certaines communes de la zone", reconnaît-il.

    Or, "faute de densité de population suffisante, il n'y a que très peu de transports en commun. Et sans travail, il est souvent difficile pour les jeunes de se payer un moyen de locomotion", relève le responsable.

    Essentiellement tourné vers les secteurs agricole et agroalimentaire, ce bassin très rural est plutôt un bon élève en termes d'emploi, avec un taux de chômage de 6,8%. Mais ce taux approche 20% pour les moins de 26 ans.

    Alors que débute mardi le débat parlementaire sur les futurs contrats d'avenir, dédiés en partie aux zones rurales, les professionnels interrogés à travers la France sont partagés quant à leur impact sur cette problématique.

    "Le problème dans nos départements, ce sont les distances et les moyens de transport", constate lui aussi Francis Testa, président de la Fédération départementale des foyers ruraux des Alpes-de-Haute-Provence.

    "C'est compliqué pour les jeunes de trouver du travail s'ils n'ont pas le permis, ou s'ils l'ont mais n'ont pas les moyens d'avoir de voiture. Les emplois d'avenir ne résoudront pas les problèmes du transport et de l'isolement", juge-t-il.

    Des emplois "stabilisés"

    Toutefois, pour M. Siméon, "l'intérêt des emplois d'avenir est qu'ils vont offrir des emplois stabilisés, ce qui n'est pas courant dans des bassins où les contrats d'un an sont très rares. A partir de là, on va pouvoir construire des réponses pérennes."

    En Centre-Bretagne, la Mission locale a ainsi créé une auto-école solidaire qui permet à des publics sélectionnés de passer leur permis de conduire pour environ 300 euros. L'organisme loue également, pour une somme symbolique, une douzaine de scooters pour jeunes travailleurs ou en recherche d'emploi.

    Dans l'Aude, autre département très touché par le chômage des jeunes, les collectivités offrent "la gratuité des lignes de bus sur le département et des tarifs réduits en train sur les lignes régionales", selon Jean-Pierre Munich, directeur de la Mission locale de Limoux.

    Avec les emplois d'avenir, "les jeunes auront la possibilité de se projeter et éventuellement d'investir" dans un moyen de locomotion, estime Laurence Lanoë, responsable de la Mission locale de Loudéac. Ces contrats permettront également de faciliter l'accès au logement des jeunes, qui peinent souvent à trouver un bailleur avec des CDD courts, relève-t-elle.

    En ciblant les jeunes pas ou très peu qualifiés, les futurs contrats mettent aussi au jour une réalité souvent méconnue: le nombre de "décrocheurs" scolaires à la campagne, relèvent les professionnels.

    "En zone rurale, 73% des 1.700 à 2.000 jeunes que nous suivons chaque année ne dépassent pas le niveau BEP/CAP", souligne Christine Thibaut-Parron, directrice de la Mission locale de la Haute-Vienne.

    "Les contrats d'avenir, c'est bien, mais ils auront une durée limitée. Il faudra que les bénéficiaires anticipent très vite la fin du contrat", estime M. Siméon.

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  • La ville de Fessenheim vient de connaitre un grand bouleversement tant au niveau de son avenir qu'au niveau de son mode de vie. Les décisions gouvernementales prises par les représentants du gouvernement laissent place à une situation de crise que la région et la ville pensaient ne pas connaitre.

    La fermeture et la liquidation sont aujourd'hui des mesures qui ne touchent pas seulement le monde du nucléaire et qui laissent présager un futur très sombre. Les territoires ruraux ainsi que les services présents dans les villes vont vivre des âges sombres et aussi des périodes de crise sociale et économique profonde.

    Mais que peuvent faire les communes face aux pouvoirs publics et à leur décision parfois injuste ? Heureusement, les initiatives locales peuvent solutionner les problèmes rencontrés. Notamment, la désertification des services et la délocalisation des entreprises sont les sanctions envisagées dans de telles situations.

     

     

    Voici un article sur le sujet

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  • Les vacances en France touchent tout le monde des plus riches aux plus pauvres des zones urbaines aux zones rurales. Mais aujourd'hui, les plus pauvres sont laissés sur le bord de la route.

    Voici un document de synthèse du Credoc à lire attentivement ...

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  • Quelques villes connaissent une structuration des bâtiments publics et des installations municipales. Les élus des communes rurales doivent ainsi réaménager les lieux et choisir une politique conforme aux attentes de la population.


    Voici l'exemple de la ville de Vannes (56) décrit par G. Simon


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    La ville va reprendre l'école de police que briguait initialement l'université. La Maison des associations y sera transférée, de même que la Mission locale. On y fera aussi un multi-accueil. Et le Rugby-Club pourra bénéficier des installations sportives.

     

    Cela fait deux ans que l'ancienne école de police de Vannes est désaffectée. Et depuis elle est gardiennée nuit et jour dans l'attente d'un éventuel acquéreur. On pensait que l'Université de Bretagne-Sud (UBS) achèterait ce site de 2,4ha qui comprend un bâtiment administratif équipé de salles de cours, d'un amphithéâtre et d'un foyer restaurant, un second bâtiment plus imposant avec 100 chambres individuelles, un terrain de sport et un gymnase. Le tout en excellent état. L'IUT étant tout proche, c'était pour l'UBS une belle opportunité. Et son ancien président, Olivier Sire, avait convaincu la communauté d'agglomération d'acheter l'école et de la lui louer.

     

    Un parking de 100 places

     

    Coup de théâtre: en juillet dernier, le nouveau président de l'université, Jean Peeters, abandonne le projet. «L'idée était bonne. J'ai demandé à mes collègues vannetais d'aller visiter le site. Ils s'y sont rendus à deux reprises. Et on s'est rendu compte que le lieu n'est pas forcément adapté. D'autre part, l'université n'en a plus les moyens financiers», indique Jean Peeters. C'est donc la ville qui reprend l'affaire dans les mêmes termes. Vannes Agglo achètera à l'État les locaux et le foncier pour 5,6millions d'euros et les louera à la ville pour une somme annuelle de 153.000 € correspondant aux frais financiers, avec possibilité d'achat jusqu'en 2017. Cette décision doit maintenant être corroborée par un vote du conseil municipal (le 17septembre) et un vote de Vannes Agglo (le 27septembre). David Robo, le maire, a indiqué, hier, que la Maison des associations de la Tannerie y sera transférée rapidement. Il était prévu que ce déménagement se fasse initialement rue de la Loi quand la fac de droit s'ouvrira à Tohannic. «L'école de police est d'autant plus pratique qu'elle a un parking de 100 places et une ligne de bus proche», précise David Robo. Le projet prévoit aussi d'y regrouper les deux antennes (Cliscouët et Suffren) du multi-accueil de Kercado (35 places) et d'y installer la Mission locale de la rue Victor-Hugo. Le terrain de sport sera proposé au RC Vannes et les clubs locaux pourront profiter du gymnase. Tout le foncier n'étant pas occupé, il reste de la place pour faire éventuellement du logement aussi bien social que privé. Et une Maison de la Bretagne? Il faudra que la Région y participe, dit David Robo.

     

    «À l'aveuglette»

     

    Du coup, des bâtiments qui seront libérés rue de la Tannerie, ainsi que les petits logements occupés çà et là par des associations et la Mission locale, seront mis en vente, «ce qui nous permettra de faire une opération blanche», précise David Robo. Mais déjà la polémique. Hier le groupe d'opposition VPC s'est insurgé contre ce rachat. «Il y avait des moyens juridiques pour figer ce site pendant cinq ans et ne pas dépenser 5,6 millions à l'aveuglette sans véritable projet», selon Marion Le Berre. «Il a fallu réagir rapidement», indique Pierre Le Bodo, président de Vannes Agglo. Car l'État demande de prendre vite une décision. «À chaque conseil municipal, VPC regrette que la ville n'achète pas suffisamment et maintenant ils s'offusquent», répond David Robo. «C'était juridiquement impossible de figer ce site», ajoute Pierre Le Bodo.

     

     

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  • Comment se sentir intégrer dans une commune quand on est nouveau (partir sans connaitre la culture locale et retrouver de la famille) et quand on vient d'une autre région ?

    Chaque année, de nouveaux arrivants viennent résider dans une commune aux qualités de vie certaines. Cela peut s'explique de diverses manières, tout d'abord les raisons sont souvent centrées sur les atouts de la ville et aussi le contact avec les habitants. Pour d'autres personnes, elles veulent changer leur cadre de vie et retrouver le calme et le confort de la tranquillité. Des motifs que bien sûr nous ne contredirons pas. Mais où placer alors l'aspect agricole et l'aspect collectivité ?

    Mais faut-il pour autant accueillir tout le temps de personnes ? Là, les réponses sont contradictoires. Les élus pensent que accueillir commence par les enregistrer comme électeur (chose qui n'est pas automatique). Pour d'autres, les accueillir commence par les rencontrer et leur parler avec courtoisie.

    Et vous que faites vous pour bien accueillir les nouveaux dans votre commune rurale ?

     

    Boire un verre ou rencontrer les nouveaux habitants tels sont les habitudes des élus et des résidents

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  • Le statut des moniteurs est remis en cause par une décision européenne. Une augmentation des prestataires est redoutée par les professionnels du secteur.

    Quel avenir les colonies se dessinent elles ?

    Pour plus de renseignements, consulter le blog des colonies de vacances.

    N'oubions pas que des jeunes aiment et participent aux camps des scouts et aux colonies de vacances.

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  • La population bretonne vieillit. En un an, elle a augmenté de 3 %. Quelle va être la place des retraités dans le paysage breton ?

    Plus de 600 000 personnes âgées sont enregistrées auprès des organismes sociaux (MSA et Sécurité Sociale). La situation de la Bretagne est complexe car les retraités ne sont pas tous situés dans la région. Certains sont de la région parisienne ou d'ailleurs.

     

    Mais alors que viennent-ils chercher en Bretagne ? Sans doute souhaitent-ils se rapprocher de leur famille ou retrouver le calme du monde rural. Les qualités de vie et les valeurs transmises sont un label reconnu.

    Va-t-on arriver à une surpopulation âgée et à un exode des jeunes vers les centres urbains ?

     

     

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