• Seules les personnes concernées peuvent connaitre l'importance des services dans la vie de tous les jours.

     

    Un service est un bien et un pas vers l'idéal social ...

    Et vous qu'en pensez-vous ?

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Un petit village d'Ille-et-Vilaine, Saint-Ganton, dont la dernière école avait fermé en 1979, a connu mardi sa première rentrée scolaire depuis 33 ans, dans une école construite en partie par les parents d'élèves, a-t-on appris auprès de la mairie et du rectorat.

    "Depuis 1979 et la fermeture de la classe unique de l'école privée, le village n'avait plus d'école, sachant que l'école publique avait fermé en 1942", a indiqué le maire de cette commune de 425 habitants, Bernard Gefflot (SE), à l'AFP.

    Le recteur de l'académie de Rennes, Alexandre Steyer, s'est rendu en personne sur place mardi pour accueillir les 66 élèves de l'établissement. Ceux-ci sont accueillis dans trois classes, de la maternelle à l'élémentaire.

    "Jusqu'à présent, les élèves étaient répartis dans les villages alentour. Mais quand on nous a demandé de contribuer financièrement pour des agrandissements, on s'est dit qu'on pouvait tout aussi bien rouvrir une école ici", a expliqué l'élu.

    La progression démographique régulière que connaît depuis quelques années le village, après plusieurs décennies d'exode rural, a contribué à convaincre le rectorat d'ouvrir des classes, a-t-il précisé.

    "Surtout, il y a eu une volonté très forte des parents d'élèves et de la municipalité. Tout le monde a mis la main à la pâte", a souligné le maire.

    Des parents et des employés communaux ont ainsi bénévolement participé durant plusieurs mois au chantier de construction du bâtiment, élaboré avec des éco-matériaux. "Pour les murs non-porteurs, nous avons utilisé des briques de terre crue extraite localement", a précisé M. Gefflot.

    La structure, dont le coût total s'est élevé à 1,4 million d'euros, comprend également un accueil périscolaire et une cantine. "Les repas sont confectionnés par le café-restaurant que la municipalité a ouvert en 1995", a précisé le maire.

    Interrogée par l'AFP, Gwenola Roger, habitante de Saint-Ganton et mère de deux enfants scolarisés dans la nouvelle école, a assuré qu'une "autre vie" commençait pour sa famille.

    Auparavant ses enfants devaient se rendre chaque jour à Pipriac, à huit kilomètres de son domicile. "Les enfants auront moins de temps de trajet, ils pourront rentrer manger le midi", a-t-elle dit.

    Mme Roger, également trésorière de l'association de parents d'élèves qui a aidé à la construction de l'école, s'est félicitée de l'action conjointe des parents et de la municipalité.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

    Le Conseil général d'Ille-et-Vilaine souhaite permettre aux personnes âgées qui le souhaitent de vivre le plus longtemps possible dans leur cadre de vie habituel.

    Mais rejoindre un établissement est une décision que les personnes âgées ou leur famille doivent parfois prendre, par choix ou par nécessité.
     

    Télécharger le guide des établissements et services pour personnes âgées
     

    Ce guide a pour but de recenser les établissements existants en Ille-et-Vilaine. Il constitue un document d’information, pour faciliter votre recherche et vous permettre d’accéder rapidement au renseignement recherché. Il comporte les éléments essentiels : nom, adresse, téléphone, capacité, tarifs

    Pour se donner confiance, voici un brin d'humour cinématogrphique sur la place de la personne âgée dans la société - Des extraits d'un film "Les vieux de la vieille" savoureux et une pure réalité ..

    A regarder sans modération

     

    et un autre (un vrai bonheur)


    Et dire qu'avant les agriculteurs et les anciens étaient heureux et respectés. Que le monde change trop vite ...


    Par conséquent, que devons-nous faire ? ...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • A l'heure où les élus essaient de motiver les jeunes à l'importance de la politique sur la vie des habitants, les jeunes désertent leur commune rurale pour des motifs divers. Les plus courants sont le manque de dynamisme et l'absence de reconnaissance de la jeunesse dans la vie publique. Un  tel service rend la jeunesse plein d'attraits et remplie de projets.


    Pour en savoir plus, lisez ce lien : Les Maisons des Jeunes et de la Culture

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Les résidences secondaires bretonnes ont connu un retour en grâce durant la dernière décennie. Leur nombre a augmenté de 34.000 sur la période 1999-2009. Un engouement qui semble aujourd'hui achevé.


    Depuis le début de la crise immobilière, en 2008, les notaires constatent une nette baisse des ventes de résidences secondaires. Ce marasme s'est encore accentué voici sept mois, avec l'alourdissement de la taxe sur les plus-values résultant de la vente des logements non-principaux. Seuls trouvent preneurs les biens d'exception et ceux dont les vendeurs consentent à baisser significativement le prix. Dans le même temps, les mises en chantier de maisons de vacances ont également chuté: par temps d'incertitude, ce qui est «secondaire» est moins prioritaire que jamais...
     


    Comme en 1991

    Les années 1990 avaient elles aussi été marquées par une désaffection des Français pour les résidences secondaires. Pour la première fois, leur nombre avait moins progressé que celui des résidences principales. Après cinq ans de marasme, ce marché immobilier des vacances avait repris du poil de la bête.

     

    Des millions qui ne sont pas secondaires

    La décennie en cours connaîtra-t-elle un retour en force? Beaucoup l'espèrent. La résidence secondaire est en effet une richesse pour une commune. Elle rapporte des taxes à la collectivité et elle contribue à l'économie locale. Une étude de la Cellule économique de Bretagne a établi que la construction de logements secondaires a représenté 124millions d'euros en 2010 (soit 5% du chiffre d'affaires du logement neuf), tandis que le marché de l'entretien et de la rénovation injectait 167millions dans le secteur (8% du marché breton). En termes d'emplois directs, ces activités représentaient 3.100 équivalents temps plein. Sans compter les retombées commerciales, bien plus importantes.

    Cinquième région de France

    Avec 13,3% de logements à usage de résidence secondaire, la Bretagne est la cinquième région de France derrière la Corse(35%), le Languedoc-Roussillon (22%), Paca (17,3%) et la Basse-Normandie (15,8%). La moyenne française est de 9,6%. Avec un taux de résidences secondaires de 19,2%, le Morbihan est le premier département breton devant les Côtes-d'Armor(16%), le Finistère (13,5%) et l'Ille-et-Vilaine (6,7%). La Bretagne-sud est quand même loin du record de France établi par les Hautes-Alpes à 46%.


    Triangle d'or morbihannais

    Dans le Morbihan, qui compte 34% des résidences secondaires de Bretagne, le littoral Auray-Quiberon-Golfe pèse à lui seul le quart des constructions de la région. C'est dans ce «triangle d'or» également que la chute a été la plus sensible en fin de période (moins 24% contre moins 11% pour l'ensemble de la Bretagne).


    Tropisme côtier

    80% des résidences de vacances se concentrent sur les communes littorales. Malgré l'augmentation enregistrée à l'intérieur des terres, cette concentration ne régresse pas: de 2001 à 2010, 80% des 17.900 mises en chantiers ont eu lieu sur la côte. Désormais, 21% des logements côtiers sont secondaires.


    Le jardin des Anglais

    Pour autant, le Centre-Bretagne tire assez bien son épingle du jeu. En valeur absolue, le nombre de résidences secondaires y est évidemment bien plus faible que sur le littoral. Mais elles représentent une proportion non négligeable dans ces petites communes à la démographie déclinante. C'est le fait principalement des Anglais qui apprécient les petits prix, mais aussi des enfants du pays qui, quoique devenus citadins, aiment à revenir dans l'ancienne demeure familiale.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • A l'heure où le gouvernement essaie de réduire les effectifs et où les embauches d'enseignants sont annoncées, tout ceci semble contradictoire. Les écoles bretonnes et plus particulièrement les écoles Diwan sont un peu laissées sur le bas côté de la route.

    Mais la réalité est encourageante car les effectifs sont en augmentation malgré une baisse de leur représentation territoriale.

    Le bilan des écoles Diwan est surprenant et synonyme de refonte de l'image de l'enseignement dans les territoires ruraux.

    Un article à lire très vite : Écoles bilingues. 14 ouvertures de classes en Bretagne



     

     


     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Le retour des vacances s'annonce périlleux et économiquement difficle pour certaines familes françaises. Fermetures, licenciements, augmentation des prix et bien d'autres maux  sont aujourd'hui notre lot quotidien. Il est bon de rappeler que le chômage touche tout le monde : enfants parents, entreprises et collectivités sans oublier les administrations de façon directe ou non. L'emploi breton est plombé par les difficultés de l'industrie.

     

    La Bretagne est la région la plus touchée économiquement parle chômage comme en témoigne cette article publié dans le OuestFrance.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire

  • Qu'est-ce que vous préférez: vivre a la campagne ou en ville ?

     

    Je ne peux pas répondre a cette question immédiatement. D'abord, je dois dire que j'ai déja fait la connaissance des deux. La vie en ville (une grande ville) aussi bien que la vie a la campagne. Il y a des avantages aussi bien que des désavantages. L'avantage de la ville est indiscutable: la bonne infrastructure, avec des institutions culturelles et les transports publics par exemple le tramway ou le bus, si bien qu'une voiture n'est pas absolument nécessaire. En art, science et éducation, la ville a des grands avantages envers la campagne.


    En ville, il y a bien de sites d'éducation (les lycées, des colleges, des écoles primaire, une université, une académie, un enseignement supérieur , des écoles professionnelle, des instituts scientifiques, des bibliotheques etc.), des musées, des théâtres. En outre, toutes autorités importantes sont représentés en ville, comme le bureau d'aide sociale, l'Agence nationale pour l'emploi, la police, le tribunal, le percepteur et ainsi de suite. Un avantage est aussi le grand nombre de fonds de commerce, et en ville, il y a des établissements importantes par exemple la poste et les établissement bancaires.


    A côté de la grande offre d'alimentation médicale, alors des hôpitaux, des docteurs ou des pharmacies. aussi l'offre variée des loisirs est un grande avantage. En ville, il y a des cinémas, des discotheques, des concerts, des expositions etc. De plus il y a des terrains de sport, des foires, le zoo et des serres. C'est ça! Ce serait mon plaidoirie pour la ville. Mais naturellement la vie en ville a non seulement des avantages. Par exemple l'industrie, quoique elle soit en réalité positive (emplois), elle pollue pourtant fortement l'air en ville, ce qui sera encore renforcé par beaucoup de circulation.


    Par quoi nous venons au second point. La circulation: beaucoup d'habitants de la périphérie ou sur la campagne, allant au travail en ville, et retournant encore le soir. Par cela l'affluence deviendra désagréable. Ce qui fera réussir encore par les nombreux chantiers. Ces sont tous des facteurs pourquoi l'air en ville est séchée et est polluée. Ce qui nuit a notre santé. La santé souffre le plus en ville, la pollution de l'air, la hâte, la bousculade. le stress etc. sont les raisons importantes pour lesquelles beaucoup d'hommes vont habiter a la campagne. En général il y a en ville a peine des espaces verts.

    Il y a aussi de grandes différences sociales, le contraste entre pauvre et riche est un grand probleme en ville. Je dirais que c'est pourquoi la criminalité en ville est aussi beaucoup plus grande qu'a la campagne. N'oubliez pas la vie anonyme. Par quoi il pourrait etre un probleme a faire la connaissance de nouveaux amis. Ainsi, ce sont les désavantages de la vie en ville. Maintenant j'explique les avantages de la vie a la campagne. Le plus grand avantage a la campagne est l'air pure et la nature. On peut se promener a pied et observer beaucoup de animaux différents. Le silence est la raison principale pourquoi il y a beaucoup d'hommes qui vont habiter a la campagne.


    De plus, le calme n'est pas dérangé par beaucoup de circulation parce qu'il manque l'infrastructure nécessaire. En outre, il est tres propre a la campagne. Puisque je dois contredire le cliché que les vaches chient tous les 5 metres dans la rue. Ces choses sont les grandes avantages de la vie a la campagne. Mais il y a aussi beaucoup de désavantages. Le plus grand probleme est l'infrastructure, qui manque a la campagne. En dehors du bus (qui part tres rarement) il n'y a pas d'autre transports publics. Ainsi, sans voiture, on est dépendant de quelqu'un.


    Généralement, il y a seulement une poignée des fonds de commerce, tout au plus un médecin et tres rarement une pharmacie. Un autre désavantage énorme, surtout pour les jeunes gens, est la non-existence de l'offre variée des loisirs. C'est tout. Pour lequel des deux je me décide? Je préférerais la vie en ville (dans une grande ville, avec plus de 200.00 habitants). Malgré la pollution de l'air etc., je préfere l'infrastructure nécessaire et la qualité de vie. Pour dire vrai, quoique je goute le calme, je dois dire, que j'ai besoin de la bousculade et de la vie passionnante en ville. A mon avis, la ville offre beaucoup plus que la vie a la campagne. .

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique