• La destruction programmée de la planète laisse les élus et les habitants des communes rurales sujets à inquiétude et surtout perplexes devant l'état de la planète.

    Les territoires ruraux sont confrontés aujourd'hui à un dilemme fort : instaurer des mesures de préservation de l'environnement ou alors considérer que les mesures passent par des initiatives personnelles ?

    La réponse est difficile et très contraignante pour les collectivités. En effet les mairies veulent encourager les habitants à adopter des règles de préservation de l'écologie et aussi diminuer le coût des traitement des déchets ménagers et individuels. Les territoires ruraux ne disposent pas assez de moyens matériels et financiers alors pour les aider les mariages communautaires créent des richesses utiles. Les mesures peuvent alors s'appliquer et aussi se faire commune aux différentes collectivités.

     

     

    Devant ces difficultés, les communes rurales doivent par conséquent appliquer des décisions qui touchent les contribuables aux porte-monnaies pour que celles-ci soient respecter et utiles.

     

     

     

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  • Voici un nouveau site sur les territoires ruraux et sur l'actualité rurale. Venez découvrir cet espace personnel ...

     

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  • Voici quelques liens vers des articles témoins de cette semaine d'actualité :

     

    - Social :

                   - Les seniors et les hommes seuls de plus en plus fragilisés (ouestfrance)

                   - La consommation des antibiotiques (ouestfrance)

                   - Les ZEP craignent de se faire zapper (Libération)

                   - Une fabrique des garçons (Libération)

     

    - Economie :

                 - Le dégoût et l’incompréhension des Ecomouv’ (ouestfrance)

                 - Nos assiettes empoisonnées (ouestfrance)

                 - Bâtir et rénover des logements (Le Parisien)

     

    - Fiche Métier :

                - L'infirmier (Le Parisien)

                - Test d'orientation (Le Parisien)

     

     

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  • D'après un rapport gouvernemental, le réseau ferré français est en pleine transformation. Les élus veulent changer et développer les voies de communication journalières des habitants. En plus, les trains sont souvent décriés comme des moyens de transport ne respectant pas les délais et les horaires mais aussi des conditions de transport inadaptées.

    Les lignes TGV ne desservent pas tous les coins de France et les communes reculées de nos territoires ruraux. devons nous seulement penser aux lignes LGV au dépens des petites lignes TER et Corail ?

    Quelques temps en arrière, des élus espéraient défendre l'aménagement du territoire de manière uniforme : des aires urbaines aux aires rurales sans oublier les zones périphériques. Alors, les communes rurales qui connaissent des difficultés de préserver un brin d'économie rentable et prospère  et des services publics toujours présents doivent-elles renier l'importance du train et se p^lacer dans l'ère du covoiturage ?

     

    Les avis divergent mais il est bon de se souvenir que le réseau ferré est en proie à une image désastreuse de son activité.

     

     

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  • Durant l'époque que nous traversons, les situations économiques connaissent des périodes difficiles et des mouvements récurrents séculaires. Certains individus considèrent que les crises ne durent que le temps d'une saison plus ou moins longues mais d'autres espèrent qu'elles laisseront place aux périodes bénéfiques et expansionnistes.

    Les territoires ruraux aussi d'un coin reculé au fin fonds des campagnes qu'un coin connu pour ses qualités et ses bienfaits, peuvent aujourd'hui témoigner et prouver que le secteur agricole est en pleine mutation.

    Les filières agricoles et agro-alimentaires ne sont que des preuves d'une situation délicate. Les collectivités locales et les élus ne sont pas en mesure de trouver une solution durable à ce mal. Mais les institutions européennes doivent tenir compte de tous les paramètres avant de prendre des décisions applicables à tous e pour une durée plus longue qu'habituellement.

    Les régimes fiscaux et les inégalités étatiques témoignent également de cette disparité entre les membres et les exploitants.

     

    Alors, que devons nous espérer et attendre face à cette crise agricole ?

     

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  •  Voici une vidéo intéressante à regarder très vite qui présente le monde rural à travers les yeux d'un ancien agriculteur. Il a connu des évolutions de vie et des changements sociaux et agricoles sans oublier technologiques primordiaux.

    Ce film extrait d'un reportage montre combien la vie rurale est rude.

     

     

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  • Certains territoires ruraux et communes isolées sont confrontés aux problèmes de l'emploi et aux disparitions des entreprises locales. Pour cela, les élus cherchent à sauvegarder celles présentes mais aussi à inciter les candidates à s'installer. Alors courage aux volontaires ...

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    Jean-Luc Combe, nouveau préfet de l'Aveyron, a pris ses fonctions hier. Après un peu moins de dix-neuf mois passés dans le Cantal, il arrive dans un département qu'il avoue connaître très peu «mais qui présente des similitudes avec le Cantal, toutefois moins pourvu en industries». Et d'affirmer : «J'ai beaucoup bougé dans toute la France. Quand on dirige, il faut comprendre très vite les enjeux d'un territoire pour prendre à bras-le-corps les problèmes qui lui sont spécifiques».

    Ces enjeux, Jean-Luc Combe les classe en quatre catégories. L'emploi tout d'abord. «C'est la question qui m'importe le plus. Trop en sont privés. Nous avons l'obligation de tout mobiliser pour favoriser le retour à l'emploi, en partenariat avec les acteurs du monde économique, associatif et syndical. à travers les outils mis à disposition par le gouvernement, il faut retrouver des marges de manœuvre pour permettre aux entreprises d'embaucher. La bataille pour l'emploi est la mère de toutes les batailles».

    «Je serai d'une fermeté absolue»

    Deuxième sujet abordé par le préfet, l'aménagement du territoire. «C'est un sujet jamais achevé. Il y a eu l'arrivée du télégraphe, du téléphone et maintenant du très haut débit. Le travail est en cours, le dialogue engagé, il faut vite trouver un accord. C'est un enjeu important pour l'installation des entreprises sur les territoires ruraux». Sur le même sujet, l'amélioration du réseau routier est, pour Jean-Luc Combe, un enjeu important pour le développement économique. S'agissant de la RN 88, «les choses sont entre les mains du préfet de région, reste à trouver le financement et je me battrai pour un calendrier rapide».

    La sécurité est aussi un sujet essentiel pour le préfet. «En Aveyron, les chiffres sont loin d'être catastrophiques, la délinquance est contenue. Cependant, les services de police et de gendarmerie se doivent d'être vigilants, notamment en termes de cambriolages mais aussi d'atteintes physiques et de violences intrafamiliales, qui touchent maintenant la ville comme la campagne et tous les milieux sociaux. En revanche, dans le domaine de la sécurité routière, les chiffres ne sont pas très bons. Je serai d'une fermeté absolue, notamment en termes de vitesse, d'alcool et autres substances, et téléphone au volant».

    Enfin, l'organisation territoriale «est un enjeu important qui concerne tous les Aveyronnais. Il faut absolument la revoir car le système est à bout de souffle, notamment pour les petites communes qui ont de plus en plus de mal à satisfaire la population. Je vais écouter les propositions des élus, étudier les projets de coopération, veiller à ce que l'on soit orienté vers le développement du territoire. La loi NOTRe prévoit de donner des pouvoirs au préfet. Je serai à l'écoute et si les choses n'avancent pas, j'utiliserai tous les outils prévus par cette loi».

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  • Voici un article sur la revitalisation des territoires ruraux et les activités économiques défaillantes. Il est bon de rappeler que les espaces et les coins isolés sont souvent des terres oubliés et sans défense devant les politiques locales et gouvernementales.

    Il est bon de soutenir et de proposer des initiatives pertinentes et dynamiques.

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    Après un an de travail dans le cadre de la mission d'information parlementaire sur les Zones de Revitalisation Rurale (ZRR), le député de Haute-Loire Jean-Pierre Vigier doit rencontrer ce mardi 14 octobre la Ministre du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité Sylvia Pinel pour lui faire part de ses propositions.

    Soutenir le développement des territoires ruraux fragiles économiquement et socialement, par le biais notamment de dispositifs d’exonérations fiscales et sociales, tel était l’objectif de la création, en 1995, des Zones de Revitalisation Rurale (ZRR). Le zonage alors établi s’était appuyé sur certains critères démographiques, socio-économiques et institutionnels que le député de Haute-Loire Jean-Pierre Vigier juge aujourd’hui « inadaptés aux problématiques des territoires ruraux ».

     

    Un an de travail

     

    Missionné par l’Assemblé Nationale à l’automne 2013 pour évaluer l’efficacité du dispositif, ce dernier devait en effet présenter ce mardi 14 octobre, aux côté du député PS du Cantal Alain Calmette, à la Ministre du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité Sylvia Pinel, les conclusions d’un travail de près d’un an qui a mené les deux Auvergnats à auditionner une soixantaine d’experts, d’élus locaux et d’acteurs du monde rural, proposant à la clé un certain nombre de réformes du dispositif.

     

    De nouveaux critères d’éligibilité

     

    « Les ZRR concernent aujourd’hui les 6 millions d’habitants  de quelques 14 691 communes », explique Jean-Pierre Vigier. « Or, près de 10% d’entre elles sont considérées comme urbaines… Ce sont autant d’aides qui ne bénéficient pas directement aux communes rurales les plus fragiles ». Et les deux députés de proposer alors des critères de classement en ZRR « plus pertinents », fondés sur une « nouvelle approche inter-communale ».

     

    Les plus grandes villes exclues des calculs

     

    Seraient ainsi zonées toutes les communes d’un EPCI (établissement public de coopération intercommunale, tel que communauté de communes ou communauté d’agglomération) dont le nombre d’habitants moyen serait inférieur à 58 au km2, étant exclu de ce calcul les villes de plus de 10 000 habitants et les communes de plus de 2 500 habitants contigües à ces dernières. Seraient également zonées les communes d’’un EPCI dont les habitants ont des revenus moyens inférieurs au revenu médian national, soit 19 120 €.

     

    Des communes de Haute-Loire concernées ?

     

    « Nous n’en sommes qu’au stade des simulations, mais certaines communes de Haute-Loire, aujourd’hui hors-ZRR, pourraient être zonées grâce à ces nouveaux critères », estime Jean-Pierre Vigier. Et bénéficier ainsi des dispositifs d’exonérations sociales et fiscale propres aux ZRR, ainsi que des mesures de solidarité financière que les deux députés entendent bien renforcer, avec notamment l’instauration d’un fonds unique de revitalisation rurale dont l’enveloppe pourrait s’élever à 1 Milliard d’euros.

     

    Un assouplissement des normes

     

    Autre point visant à rendre plus attractives les ZRR sur lequel insiste Jean-Pierre Vigier, l’adaptation de certaines normes aux réalités locales. « Pourquoi par exemple les normes de sécurité concernant un grand hôtel à Paris devraient-elles être les mêmes qu’un petit hôtel en zone rurale, où les coûts engendrés sont particulièrement élevés ? », se demande ce dernier, qui propose enfin que le dispositif dans son ensemble soit mieux animé et évalué.

     

    Vigier veut défendre la ruralité

     

    Entendant bien obtenir  une oreille attentive au plus haut niveau, pour les propositions concernant les ZRR comme pour celle, plus personnelle, de la nécessité de créer un ministère dédié à la ruralité, Jean-Pierre Vigier  se veut  plus que jamais défenseur d’un monde rural qu’il aime à définir comme « 20% de la population sur 80% du territoire ». Et de conclure, ambitieux : « Si le gouvernement veut vraiment œuvrer pour la ruralité, il adoptera l’ensemble de nos propositions ».

     

     

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