• Situation de crise, chômage en hausse et dépenses à la baisse sont les maux les plus répandus. Que nous parlons de personnes ou de collectivités, le constat est le même. Mais avant d'arriver à cette situation, des explications sont nécessaires.

    Tout d'abord, les réformes des élus afin de réduire les dépenses de l'Etat obligent les collectivités à surveiller les budgets alloués à la réalisation de projets. Quand les dotations liées au fonctionnement et à l'investissement sont en baisse, les communes par exemple doivent mieux s'organiser et mieux gérer pour les réaliser. Ce constat permet de dire également que les modifications ou les grandes idées du gouvernement ont incité les petites administrations à corriger les manques. Prenons l'exemple de la modification des rythmes scolaires (la semaine de 4 jours 1/2) les mairies ont dû subvenir à des dépenses que la société et les habitants ne peuvent supporter. Il est bon de rappeler que mettre en place des réformes locales est à la charge des collectivités sur le terrain et non des institutions étatiques. Alors, inciter, exiger, verser et réduire des coûts sont le quotidien des élus.

    Les communes voient donc réduire le versement des dotations mais les habitants demandent encore plus. Mais alors comment satisfaire tout le monde quand les moyens diminuent

    Cette interrogation est actuellement la grande question que doive se poser à l'aube de restrictions budgétaires. Construire des logements sociaux, développer les services à la population, aménager les lieux publics sont des projets indispensables. Nous les habitants des communes de campagne sommes confrontés à des manques et à des contestations récurrentes. Les reproches, les manifestations et les pétitions se succèdent, la colère gronde comme disent les élus.

    Mais alors, que faire ? Les réponses ne peuvent venir que des habitants et non plus des politiques car la vie locale est parfois inconnue des représentants du pouvoir.

    L'avenir nous donnera davantage de réponses voire même de constats. Attendons et constatons ...

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  • Dans nos communes, vers midi pour certaines, le facteur passe avec sa bicyclette et sa sacoche de lettres et recommandés. Il est pour certains le lien avec la famille, les amis et l'administration et pour d'autres l'annonciateur de bonnes nouvelles. Il est aussi l'ennemi des animaux aboyeurs et des passages à niveaux.

    Dans une période où l'Administration souhaite diminuer son impact sur les populations reculées et garantir un service public dans nos campagnes. Alors il est bon de se rappeler que ces personnes an jaune sont des porteurs de nouvelles. Jacques Tati avait bien compris son rôle dans les communes rurales et aussi dans son lien avec les habitants.

    Les services publics doivent améliorer la vie des habitants isolés ou non. Alors, aujourd'hui, la poste a décidé de modifier l'image du facteur en 2020. Imaginer que les facteurs seront différents à ceux d'aujourd'hui est symbolique de la modernité.

    L'essentiel restera dans le fait que le facteur continue ses tournées dans toutes la France.

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  • A l'heure où nos assiettes et nos plats sont souvent décriés et que nos habitudes alimentaires laissent les spécialistes perplexes, il est bon de se poser la question "Pourquoi manger les produits du terroir de nos campagnes ?".

    Nous allons essayer de trouver des éléments de réponse qui peuvent expliquer nos habitudes et nos manières de cuisiner peu importe notre région et notre âge. Commençons par aborder nos habitudes alimentaires. Quand nous sommes enfants, nous mangeons trop vite et mal ce qui fait que notre nourriture n'est pas forcément équilibrée et qui nos plats sont mal conçus. Nos parents peuvent bien souvent que constater notre alimentaire déséquilibrée. Pour remédier ces constats, il est possible alors de :

    • fixer des plats équilibrés en protides, glucides et lipides,
    • de rendre nos aliments agréables aux gouts,
    • de manger moins rapidement,
    • d'encourager les personnes à cuisiner plutôt qu'à manger tout prêt,
    • de manger à des heures régulières,
    • de cuisiner des plats avec des produits du terroir ...

    Alors remarquons que notre alimentation ne tient pas compte de notre pouvoir d'achat mais plus de notre culture et de nos représentations. Que l'on soit riche ou non, enrobé ou non, jeune ou non, salarié ou non, la cuisine reste un temps de convivialité.

    La préparation des repas demande de la méthode et de la convivialité aussi bien dans la cuisine que dans l'échange. Le temps du repas est un temps de communication pour tous les ménages français de Bretagne ou d'ailleurs.

    J'aimerais que les produits du terroir soient des gages de la qualité des produits français. Chaque région possède ses produits de qualité issus de la terre, de la mer ou d'ailleurs.

    Pour défendre nos produits, commençons par les acheter puis à les cuisiner.

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  • Les territoires ruraux regorgent de fermes de tailles différentes et de ressources multiples. Et par conséquent, les moyens d'existence sont limités. la question est alors comment survivre quand la ferme es petite et que le monde est grand.

    Récemment un article est paru expliquant la situation d'une exploitation qui ne survit que par ses pensionnaires. Par pensionnaires il faut comprendre non pas les animaux mais les personnes handicapées qu'elle reçoit.

    Tâchons de comprendre les raisons de cette existence. Les exploitations agricoles du fait de la crise subsistent parfois que la multiplication des activités complémentaires comme l'accueil de public, l'activité de restauration ou de logement grand groupe. Ici dans le cas présenté, la survie n'est passée que par l'accueil régulier de personnes handicapées. Mais il est bon de préciser que la ferme dispose de moyens matériels, techniques et animaliers pour accomplir cette mission avec succès.

    Je ne reviendrais pas sur l'importance de considérer les personnes handicapées comme des personnes à part entière et aussi sur l'importance de l'animal dans l'éveil d'une  personne. Tous ces sujets sont,il est bon de le rappeler, des valeurs certaines de notre société et de notre éducation. je l'espère partager par l'ensemble de la population.

    Cette agricultrice propose des activités qui permettre d'ouvrir les personnes accueillies au monde qui nous entoure et aussi aux ouvertures d'esprit et à des séances de rééducation ou de soins comme la zoothérapie et l'équithérapie.

    Nous ne pouvons qu'encourager ces initiatives parfois trop limitées. Bravo à eux.

     

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  • Du fait des difficultés économiques récurrentes, les jeunes sont confrontés à des maux pour trouver leur travail. Diplômés ou non, les jeunes à la sortie de l'école doivent trouver une voie qui leur permettent de se placer das un secteur porteur de réussite mais aussi source d'avenir et de professionnalisme.

    Les établissements scolaires doivent devant ces difficultés faire mieux avec des ressources en baisse et une incertitude croissante des jeunes face à l'orientation. Quel secteur professionnel propose une réussite à chaque jeune aujourd'hui ? Nul ne le sait car les promesses ne peuvent être tenues.

    Les parents veulent comme tous une réussite tant sociale que professionnelle de leur enfant. Cela pose le problème de la valeur du diplôme mais aussi de la valeur de la note sans oublier la valeur également de la filière. Certains pensent que le succès des jeunes passent par un travail régulier et par une motivation accrue, ceux-là sont souvent des preuves de la réussite liée au travail, et d'autres pensent que le succès passe par une valorisation des connaissances par l'exemple et par la réflexion - ceux-là estiment qu'il est temps de modifier les règles de l'enseignement.

    Des outils numériques sont créés et adoptés dans divers secteurs pro et alors les enseignants peuvent les appliquer et les utiliser pour valoriser les connaissances des jeunes.

    Arrêtons de penser que la réussite scolaire passe par le succès à un diplôme et à une place dans la classe des diplômes mais plutôt que la réussite se mesure par la place dans la voie professionnelle choisie.

    Pendant un temps, l'enseignement des riches et des pauvres furent en opposition comme l'éducation des urbains et des ruraux - tout cela est une réelle bêtise du fait que chaque personne est unique - du moins j'ose l'espérer.

    Alors parents soyez fiers de vos enfants et qu'ils soient heureux et en bonne santé - le reste n'est que secondaire même aujourd'hui.

     

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  • D'après un rapport gouvernemental, le réseau ferré français est en pleine transformation. Les élus veulent changer et développer les voies de communication journalières des habitants. En plus, les trains sont souvent décriés comme des moyens de transport ne respectant pas les délais et les horaires mais aussi des conditions de transport inadaptées.

    Les lignes TGV ne desservent pas tous les coins de France et les communes reculées de nos territoires ruraux. devons nous seulement penser aux lignes LGV au dépens des petites lignes TER et Corail ?

    Quelques temps en arrière, des élus espéraient défendre l'aménagement du territoire de manière uniforme : des aires urbaines aux aires rurales sans oublier les zones périphériques. Alors, les communes rurales qui connaissent des difficultés de préserver un brin d'économie rentable et prospère  et des services publics toujours présents doivent-elles renier l'importance du train et se p^lacer dans l'ère du covoiturage ?

     

    Les avis divergent mais il est bon de se souvenir que le réseau ferré est en proie à une image désastreuse de son activité.

     

     

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  • Et oui, les municipalités sont confrontées depuis quelques mois à cette loi réformatrice du rythme scolaire. Les élèves ainsi que les parents peuvent trouver cette mesure intéressante mais ces changements concernent également les emplois de temps familiaux. Les ménages français ont pu mesurer que ces bouleversements interviennent dans le déroulement d'une journée d'un enfant.

    Modifier les habitudes des enfants durant une semaine d'école fait évoluer les cadences de travail et de détente d'un enfant. N'oublions pas que en dehors de ce sujet, il reste également le coût des prestations proposées aux parents et aux enfants. L'intérêt public et les municipalités qui ont opté pour l'application de cette loi sont  financées en partie par le gouvernement. Mais suite  au remaniement du gouvernement, les communes perdront ce financement.

    Est-ce un bien ou au contraire un mal pour les commune isolées ?  Ce sujet demande une réflexion en profondeur de nos communes  et de nos élus.

    Pensez vous que nos élus privilégieront l'intérêt collectif à l'épanouissement de nos enfants ?

     

    - Les rythmes scolaires : sujet sensible pour les commune sisolées ....

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    À Paris, par exemple, la réforme scolaire aura coûté 62,6 millions d'euros pour sa première année d'application.

    Le financement. Ou le talon d'Achille de la réforme des rythmes scolaires. C'est ce point faible qui rassemble contre le texte des élus de tous bords et le Snuipp, principal syndicat d'enseignants du premier degré. Les premiers mettent en avant une charge imposée par l'État, quand le second s'inquiète d'une ré­forme à plusieurs vitesses, qui aboutirait à des inégalités périscolaires selon la richesse respective des territoires.

    À Paris, la réforme aura coûté, pour sa première année d'application, 62,6 millions d'euros. Si l'on déduit de cette somme les aides venues de l'État, le coût net pour la capitale est de 33,7 millions. Soit un montant annuel par élève de 195 euros.

    Paris dépasse donc l'enveloppe moyenne de 150 euros évaluée par l'Association des maires de grandes villes de France. Cette addition élevée n'a pas empêché les critiques…

    Une «garderie améliorée»

    À Aubervilliers, la projection est aussi dépassée: 200 euros par enfant, soit 1,3 million déboursés par la Ville, en plus de l'aide de l'État (500 000 euros). «1 200 ateliers pour 7 000 élèves. Nous avons fait le choix d'une offre de qualité», avance-t-on à la mairie.

    Du côté des maires ruraux, on explique que l'on s'en tient généralement aux 150 euros par enfant. Et que, dans de telles conditions, l'offre se résume à une «garderie améliorée». Mais que se passera-t-il à la rentrée 2015? Face aux demandes pressantes des maires, le gouvernement a consenti à débloquer un «fonds d'amorçage» pour 2013, reconduit en 2014.

    Dans ce cadre, les communes sont soutenues à hauteur de 50 euros par élève, auxquels s'ajoutent 40 euros pour les communes en difficulté. Et après? Depuis le décret Peillon, les maires réclament, en vain, une pérennisation du fonds.


     

    En chiffres

    24 000 communes  qui ont une école doivent modifier les rythmes scolaires

    83%  Le nombre de communes qui doivent passer  aux 4 jours et demi  à la rentrée 2014

    900 C'est en millions d'euros le coût annuel estimé  de la réforme selon  le calcul de l'Association des maires de France (AMF)

    370 C'est le montant du fonds d'amorçage débloqué en 2014 par l'État pour aider les communes

    62,6 C'est le coût de la réforme en 2013 pour la Ville  de Paris.

    d'après le Figaro

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    Voici un document à lire sur les rythmes scolaires ...

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  • Depuis quelques années, au début de l'hiver, le gouvernement français interdit les expulsions des personnes sans domicile fixe qui ont pris d'assaut des demeures inoccupées. Cette situation ne dure qu'un temps et les communes urbaines subissent parfois cette situation au détriment des propriétaires. Heureusement des associations se battent pour autorisation cette obligation sociale.

    Les communes rurales sont également confrontées à cette liberté sociale de fait. il est bon de rappeler que les individus sans DF doivent pouvoir être capables de bénéficier d'un toit et d'une demeure sans contre partie financière. Mais notre système économique est construit de manière sans intérêt pour les SDF.

    Est ce un bien ou un mal ?

    Ces réquisitions laissent les défavorisés profiter d'un bien sans loyer mais bien entendu cette possibilité pour les SDF et leur famille est un bien dans une société dite évoluée. Faut il alors laisser croire que le logement est un bien de luxe que seuls les riches peuvent en profiter.

    Dans les communes isolées, la possession d'un logement pour les SDF et les personnes en difficulté est un devoir que la commune peut répondre. Les logements sociaux sont insuffisants pour pouvoir répondre à toutes ces demandes.

    Ces attentes sociales sont des exigences et des devoirs que les collectivités doivent respecter le plus longtemps possible.

    Mais alors, que devons-nous faire ? et les communes rurales doivent-elles autoriser et laisser cette situation s'installer sur leur,sol?

     

     

     

    Voici un document PDF sur les réquisitions de logements :

     

    Voici un article :

    Le répit s'achevait ce mardi à 6 h pour des milliers de familles poursuivies pour impayés de loyers.

     

    « Peur au ventre »

    La trêve hivernale, qui interdit les expulsions locatives, a débuté le 1er novembre et s'est achevée lundi soir. Au cours de la même période, le gouvernement avait ouvert 16 000 places d'urgence pour les SDF, en promettant de mettre fin à une gestion saisonnière de l'hébergement des sans-abri.

    Le 1er avril est « synonyme de peur au ventre » pour des milliers de personnes, ont dénoncé lundi 34 associations (Fondation Abbé Pierre, Croix-Rouge, Armée du Salut, etc.), réunies en collectif.

    Plus 37 % en dix ans

    Les expulsions concernent majoritairement des familles aux revenus modestes, touchées par un accident de la vie (perte d'emploi, maladie, séparation), qui les met en difficulté pour payer leur loyer.

    Ces impayés ne concernent que 2,5 % des loyers. Ils sont la conséquence « des loyers trop chers et de la pénurie de logements », affirme la Confédération nationale du Logement, qui aide les locataires.

    Selon la Fondation Abbé Pierre, les décisions judiciaires d'expulsions pour impayés ont augmenté de 37 % depuis dix ans pour s'établir à 115 000 en 2012. Et les expulsions effectives par la force publique ont doublé, pour atteindre près de 13 000 cas.

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